« Dans une volonté de transformation et de sublimation, je détourne la matière, je l’associe, la dissocie, je la répare ou je la brise. Petit à petit, elle se métamorphose pour renaître dans une nouvelle création, laissant apparaître mes propres espérances ».
Qui je suis?

Je m’appele Naïma , je suis une artiste pluridisciplinaire et autodidacte . Depuis mon plus jeune âge, j’éprouve ce besoin de créer et de transformer. Au fils des années, curieuse et spontanée, je m’essaye à différentes pratiques artistiques : les arts plastiques, la couture et l’écriture. Je vogue de l’une à l’autre dans une démarche de recherche et d’élaboration autour de la matière.
Mes expérimentations artistiques me font prendre conscience des bienfaits de l’art. Parallèlement, mon désir de transmettre et de partager grandit alors, j’accumule des ateliers auprès de différent public puis je me forme en art thérapie.
Et c’est ainsi qu' aujourd’hui, mon projet d’atelier voit le jour. J’y propose l’expression d’une création artistique libre, favorisant le lâcher prise, l’apaisement, la communication, l’émancipation, vers une transformation et un changement possible de l’être.
Les médiations artistiques créent des passerelles vers notre monde intérieur et extérieur, elles invitent l’imaginaire, les pensées, les émotions, les sentiments, les souvenirs, les interrogations, les peurs et les doutes. Elles permettent l’extériorisation et la matérialisation de ces ressentis par la création d’une œuvre.
Ma posture,
Mon rôle va être d’accompagner, de soutenir et d’encadrer la personne ou le groupe lors de son cheminement créatif en proposant des technicités artistiques et une présence bienveillante. Un cadre contenant, souple et solide à la fois, va permettre à la personne d’évoluer sereinement dans un espace sécurisant et de non jugement. Son individualité et son intégrité respectées, la personne va pouvoir s’autoriser à être authentique et à vivre l’instant présent.
Comme vous l’aurez compris, nul besoin de savoir dessiner ou coudre durant ces ateliers l’enjeu premier n’est ni dans le savoir et le faire, ni dans l’esthétisme de la réalisation. Ce qui importe, c’est plutôt tout ce qui va se jouer durant le processus de création.
La création artistique impulse un élan de vie, un mouvement, par l’acte de créer, la personne s’active dans « l’agir et le faire », elle se retrouve face à elle-même, à ses choix, et à divers obstacles qu’il va falloir surmonter. Pour continuer son l’élaboration de création, la personne va devoir mettre en place des stratégies et tenter de trouver ses propres solutions. Des compétences et des potentialités vont émerger de la personne lui renvoyant un sentiment de satisfaction et de fierté. L’estime et la confiance en soi se renforcent, l’espoir renaît.
Mes expérimentations artistiques me font prendre conscience des bienfaits de l’art. Parallèlement, mon désir de transmettre et de partager grandit alors, j’accumule des ateliers auprès de différent public puis je me forme en art thérapie.
Et c’est ainsi qu' aujourd’hui, mon projet d’atelier voit le jour. J’y propose l’expression d’une création artistique libre, favorisant le lâcher prise, l’apaisement, la communication, l’émancipation, vers une transformation et un changement possible de l’être.
Les médiations artistiques créent des passerelles vers notre monde intérieur et extérieur, elles invitent l’imaginaire, les pensées, les émotions, les sentiments, les souvenirs, les interrogations, les peurs et les doutes. Elles permettent l’extériorisation et la matérialisation de ces ressentis par la création d’une œuvre.
Ma posture,
Mon rôle va être d’accompagner, de soutenir et d’encadrer la personne ou le groupe lors de son cheminement créatif en proposant des technicités artistiques et une présence bienveillante. Un cadre contenant, souple et solide à la fois, va permettre à la personne d’évoluer sereinement dans un espace sécurisant et de non jugement. Son individualité et son intégrité respectées, la personne va pouvoir s’autoriser à être authentique et à vivre l’instant présent.
Comme vous l’aurez compris, nul besoin de savoir dessiner ou coudre durant ces ateliers l’enjeu premier n’est ni dans le savoir et le faire, ni dans l’esthétisme de la réalisation. Ce qui importe, c’est plutôt tout ce qui va se jouer durant le processus de création.
La création artistique impulse un élan de vie, un mouvement, par l’acte de créer, la personne s’active dans « l’agir et le faire », elle se retrouve face à elle-même, à ses choix, et à divers obstacles qu’il va falloir surmonter. Pour continuer son l’élaboration de création, la personne va devoir mettre en place des stratégies et tenter de trouver ses propres solutions. Des compétences et des potentialités vont émerger de la personne lui renvoyant un sentiment de satisfaction et de fierté. L’estime et la confiance en soi se renforcent, l’espoir renaît.
Mon parcours de vie et l’origine de mon projet.
L’origine de mon projet c’est construit au fil du temps. Mon histoire de vie et les nombreuses épreuves qui le sillonnent m’ont malgré moi entraînée vers mille et une question existentielle :
Qui suis-je vraiment? Pourquoi, ce besoin de créer ? Comment lutter contre la douleur psychique ou physique? Comment dépasser les peurs, les souffrances, les blocages ? Comment se déconstruire pour se reconstruire ? Comment trouver un équilibre ? Comment faire des choix ? Comment se réaliser et donner du sens à sa vie ? Bref.....
Tout à débuter dans mon enfance, petite fille, je ressentais souvent ce besoin d’imaginer, d’inventer et de créer. J’observais mes rêves « d’un autre ailleurs », mes pensées et mes émotions, prendre vie au travers de mes dessins, et de mes créations. J’utilisais déjà toute sorte de matériaux, bois, carrelage, boite, fils, tissus que, j’associais, dissociais, cassais, réparais et transformais.
Il y avait pour moi quelque chose de magique, de précieux et d’indéfinissable dans cet acte.
Adolescente, je me passionne un temps pour la couture, je me métamorphose et m’invente comme je transforme les vêtements. Le choix d’une orientation professionnelle me semble compliquée et même, si j’éprouvais une forte attirance pour l’univers artistique et celui de la couture, le besoin d’aider, d’échanger, de partager et de transmettre l’était tout autant. Curieuse, autodidacte et pluridisciplinaire, j’expérimenterai tous ces univers durant mon parcours, ne pouvant nommer ce que je souhaitais vraiment faire de ma vie. Finalement, j’attendais peut-être inconsciemment l’apparition d’un cursus universitaire en art thérapie….
Et puis, les années passant et, les rêves s’envolant, je m’éloigne de mes aspirations malgré moi mais, jamais je n’abandonne la création artistique qui reste pour moi une aide précieuse. Je continue de peindre, de coudre et de créer.
Durant cette période de transition, je découvre l’existence de l’art thérapie m’apparaissant comme une évidence et, même si le chemin me semblait long pour y parvenir, qu’importe, tout prenait enfin sens pour moi.
Ainsi, d’un parcours universitaire en sciences de l’éducation en tant qu’apprenti-chercheuse naîtra un mémoire émancipatoire : « le processus de création artistique, le chemin d’une reconstruction » ainsi qu’une autobiographie réflexive. Je réalise une première année pratique d’art thérapie à la CMME de l’hôpital sainte Anne à Paris avant d’obtenir mon DU « bases des thérapies à médiations artistiques.
Cette double rencontre, celle de l’éducation populaire et de l’art thérapie, dont l’idéologie et les enjeux trouvent des ressemblances m’apporte des outils différents qui enrichissent et inspirent ma posture d’art thérapeute. Les pédagogies actives et les médiations artistiques sont toutes deux des supports qui favorisent, l’introspection, l’accès à l’imaginaire, à la réflexion et l’analyse de ses propres pensées, vers un bien être et une émancipation engendrée par la production de création.
Pour me former, j’accumule les expériences professionnelles, les stages et le bénévolat avec différents publics me permettant de transposer ma pratique dans différents contextes et d’appréhender les souffrances, psychiques, physiques ou sociales. Une formation en pédagogie sociale théorique et pratique vienne également enrichir mon parcours.
Proposer différents ateliers, dans divers contextes, m’a permit d’observer les enjeux de la médiation artistique auprès de nombreuses personnes. Pour aller plus loin dans mes recherches, je décide de me positionner en tant que " patiente-étudiante" lors d'atelier d'art thérapie utilisant la médiation modelage, et de vivre cette expérience sous un autre angle.
Il est important pour moi, de rester dans une démarche de recherche et d’expérimentation permanentes aussi bien dans ma pratique professionnelle et artistique, que mon cheminement personnel. Une sorte de formation tout au long de ma vie qui me permet de ne pas rester sur mes acquis. Cet enrichissement professionnel, vise d'une part l'adaptabilité face aux diverses problématiques des publics rencontrés et d'autre part, une proposition variée d'exercices et de techniques .
Qui suis-je vraiment? Pourquoi, ce besoin de créer ? Comment lutter contre la douleur psychique ou physique? Comment dépasser les peurs, les souffrances, les blocages ? Comment se déconstruire pour se reconstruire ? Comment trouver un équilibre ? Comment faire des choix ? Comment se réaliser et donner du sens à sa vie ? Bref.....
Tout à débuter dans mon enfance, petite fille, je ressentais souvent ce besoin d’imaginer, d’inventer et de créer. J’observais mes rêves « d’un autre ailleurs », mes pensées et mes émotions, prendre vie au travers de mes dessins, et de mes créations. J’utilisais déjà toute sorte de matériaux, bois, carrelage, boite, fils, tissus que, j’associais, dissociais, cassais, réparais et transformais.
Il y avait pour moi quelque chose de magique, de précieux et d’indéfinissable dans cet acte.
Adolescente, je me passionne un temps pour la couture, je me métamorphose et m’invente comme je transforme les vêtements. Le choix d’une orientation professionnelle me semble compliquée et même, si j’éprouvais une forte attirance pour l’univers artistique et celui de la couture, le besoin d’aider, d’échanger, de partager et de transmettre l’était tout autant. Curieuse, autodidacte et pluridisciplinaire, j’expérimenterai tous ces univers durant mon parcours, ne pouvant nommer ce que je souhaitais vraiment faire de ma vie. Finalement, j’attendais peut-être inconsciemment l’apparition d’un cursus universitaire en art thérapie….
Et puis, les années passant et, les rêves s’envolant, je m’éloigne de mes aspirations malgré moi mais, jamais je n’abandonne la création artistique qui reste pour moi une aide précieuse. Je continue de peindre, de coudre et de créer.
Durant cette période de transition, je découvre l’existence de l’art thérapie m’apparaissant comme une évidence et, même si le chemin me semblait long pour y parvenir, qu’importe, tout prenait enfin sens pour moi.
Ainsi, d’un parcours universitaire en sciences de l’éducation en tant qu’apprenti-chercheuse naîtra un mémoire émancipatoire : « le processus de création artistique, le chemin d’une reconstruction » ainsi qu’une autobiographie réflexive. Je réalise une première année pratique d’art thérapie à la CMME de l’hôpital sainte Anne à Paris avant d’obtenir mon DU « bases des thérapies à médiations artistiques.
Cette double rencontre, celle de l’éducation populaire et de l’art thérapie, dont l’idéologie et les enjeux trouvent des ressemblances m’apporte des outils différents qui enrichissent et inspirent ma posture d’art thérapeute. Les pédagogies actives et les médiations artistiques sont toutes deux des supports qui favorisent, l’introspection, l’accès à l’imaginaire, à la réflexion et l’analyse de ses propres pensées, vers un bien être et une émancipation engendrée par la production de création.
Pour me former, j’accumule les expériences professionnelles, les stages et le bénévolat avec différents publics me permettant de transposer ma pratique dans différents contextes et d’appréhender les souffrances, psychiques, physiques ou sociales. Une formation en pédagogie sociale théorique et pratique vienne également enrichir mon parcours.
Proposer différents ateliers, dans divers contextes, m’a permit d’observer les enjeux de la médiation artistique auprès de nombreuses personnes. Pour aller plus loin dans mes recherches, je décide de me positionner en tant que " patiente-étudiante" lors d'atelier d'art thérapie utilisant la médiation modelage, et de vivre cette expérience sous un autre angle.
Il est important pour moi, de rester dans une démarche de recherche et d’expérimentation permanentes aussi bien dans ma pratique professionnelle et artistique, que mon cheminement personnel. Une sorte de formation tout au long de ma vie qui me permet de ne pas rester sur mes acquis. Cet enrichissement professionnel, vise d'une part l'adaptabilité face aux diverses problématiques des publics rencontrés et d'autre part, une proposition variée d'exercices et de techniques .
Pourquoi ce métier ? Transformer le métal de souffrance en or
« Tout ce qu’il faut que tu fasses pour remonter à la surface est que l’on t’aide à trouver ce qui est fort en toi. Retrouve ce qui a été écrasé, puis reconstruit dessus. » Femme qui à connu le Génocide Rwandais.
Le métier de médiatrice artistique m’est apparue comme une évidence, il est le fruit de mon histoire personnelle, de ma pratique artistique quotidienne et de ma vision humaniste du monde.
Je crois qu’en chaque personne, comme en toute chose réside son contraire ainsi il y a le bien, le mal, le jour- la nuit, la douleur-le bonheur. Si tout semble négatif, quelque part il doit forcément y avoir du positif. Tel est ma devise.
Je vais m’intéresser aux faces cachées de la lumières, aux aspirations, aux qualités et compétences de la personne, c’est avec cette essence de vie que j’appuis et débute mes propositions de travail en ateliers. J’utilise alors les médiations artistiques comme l’intermédiaire rendant possible, la relation à soi, à l’autre, au monde. Faire vivre ses émotions au travers des différents supports d’expression va permettre de les contenir, de les observer sous un autre angle avec la possibilité pour la personne de lui donner un sens, et de lui trouver une place. « Ce qui n’est plus dedans est dehors ».
J’ai cette croyance que chacun de nous possède son propre potentiel créatif mais, que l’on ne connait pas forcément les moyens de le faire émerger. Pourtant dans notre enfance, en générale nous avons tous pu côtoyer la créativité, à l’école, en groupe, tout seul, et la question « du beau » ne se posait pas forcément. Nous savions tous, nous créer un espace mental ou tout était possible, pour nous évader, rêver ou nous réinventer...
En grandissant, parfois nous avons perdu les moyens d’accéder à de notre monde intérieur à cette possibilité de nous reconnecter, de nous écouter, d’essayer de nous comprendre, de nous apaiser... Pourquoi ? Peut-être parce que la vie va trop vite, qu’il faut du rendement, que l’on doit rentrer dans le moule, ... Alors, on ne prend plus le temps de se poser pour vivre l’instant présent et d'observer ce qui s’y passe. On préfère plutôt se couper de notre corps et de nos émotions, pour tenir le coup et, pour ne plus entendre leurs détresses.
Pourtant, la création artistique par l’acte de créer permet de rester en mouvement dans sa vie et en conscience, elle est une force, elle peut devenir le vecteur d’un chemin vers une reconstruction, d’un changement, vers la création d’un soi.
Les émotions et sensations ne vont pas s’effacer, elles vont continuer de vivre comme par magie mais elles ne sont plus en nous et se retrouvent dans une création. Celles-ci peuvent ainsi se transformer et trouver une place, un sens.
Le métier de médiatrice artistique m’est apparue comme une évidence, il est le fruit de mon histoire personnelle, de ma pratique artistique quotidienne et de ma vision humaniste du monde.
Je crois qu’en chaque personne, comme en toute chose réside son contraire ainsi il y a le bien, le mal, le jour- la nuit, la douleur-le bonheur. Si tout semble négatif, quelque part il doit forcément y avoir du positif. Tel est ma devise.
Je vais m’intéresser aux faces cachées de la lumières, aux aspirations, aux qualités et compétences de la personne, c’est avec cette essence de vie que j’appuis et débute mes propositions de travail en ateliers. J’utilise alors les médiations artistiques comme l’intermédiaire rendant possible, la relation à soi, à l’autre, au monde. Faire vivre ses émotions au travers des différents supports d’expression va permettre de les contenir, de les observer sous un autre angle avec la possibilité pour la personne de lui donner un sens, et de lui trouver une place. « Ce qui n’est plus dedans est dehors ».
J’ai cette croyance que chacun de nous possède son propre potentiel créatif mais, que l’on ne connait pas forcément les moyens de le faire émerger. Pourtant dans notre enfance, en générale nous avons tous pu côtoyer la créativité, à l’école, en groupe, tout seul, et la question « du beau » ne se posait pas forcément. Nous savions tous, nous créer un espace mental ou tout était possible, pour nous évader, rêver ou nous réinventer...
En grandissant, parfois nous avons perdu les moyens d’accéder à de notre monde intérieur à cette possibilité de nous reconnecter, de nous écouter, d’essayer de nous comprendre, de nous apaiser... Pourquoi ? Peut-être parce que la vie va trop vite, qu’il faut du rendement, que l’on doit rentrer dans le moule, ... Alors, on ne prend plus le temps de se poser pour vivre l’instant présent et d'observer ce qui s’y passe. On préfère plutôt se couper de notre corps et de nos émotions, pour tenir le coup et, pour ne plus entendre leurs détresses.
Pourtant, la création artistique par l’acte de créer permet de rester en mouvement dans sa vie et en conscience, elle est une force, elle peut devenir le vecteur d’un chemin vers une reconstruction, d’un changement, vers la création d’un soi.
Les émotions et sensations ne vont pas s’effacer, elles vont continuer de vivre comme par magie mais elles ne sont plus en nous et se retrouvent dans une création. Celles-ci peuvent ainsi se transformer et trouver une place, un sens.